Eglise Saint Gilles de Levainville, paroisse Bienheureuse Marie Poussepin

Histoire de l’église

u XVIe siècle, Levainville faisait partie de la paroisse de Bleury. 

Une simple chapelle, sous le vocable de Notre Dalme de Lorette, y avait été construite par le seigneur de Levainville, Georges de Cochefilet.

En 1536, elle est érigée en église paroissiale. La nouvelle paroisse réunissant Levainville, Garnet et Moulin-de-ville.

La nef et le choeur remontent au XVIe siècle. La charpente apparente est lambrissée.

Le transept  correspondant à la chapelle d’origine.

A l’intérieur, on trouve la pierre tombale de Jacques de Cochefilet, fils de Georges et père de l’épouse de Sully..

Le maitre autel et son retable datent du XVIIIe siècle.

Saint Gilles

Saint Gilles serait né vers le milieu du VIIe siècle, à Athènes.

Très vite, il s’illustre par des miracles mais fuit sa renommée et aborde en Provence, où il mène une vie de  moine itinérant, passant de monastère en monastère sans faire partie d’aucun.

Puis, il  se retire dans une forêt non loin de Nîmes, à Collias, près du cours du Gard.

Le saint est représenté souvent avec une biche qu’il aurait sauvé des flèches des chasseurs royaux. Le roi l’aurait alors autorisé à construire le monastère à Saint Gilles du Gard, lieu de sa sépulture.

Au Moyen Âge, le culte de saint Gilles était très important, non seulement en Provence et dans le Languedoc, mais dans la plupart des pays de la chrétienté. Il était surtout invoqué comme saint susceptible d’aider les pénitents lors des aveux difficiles.

Il est fêté le 1er septembre.

Informations pratiques

  • Capacité d’accueil : 200 personnes.

Pour tout renseignement contacter Nathalie VACHEROT.