Sainville: Eglise Saint Pierre et Couvent Marie Poussepin Paroisse Bienheureuse Marie Poussepin, Auneau.
Eglise Saint Pierre
Histoire de l’église
La tour de l’église de Sainville, ainsi que le chœur et les trois premières travées de la grande nef, sont de style roman de transition de la fin du XIIéme siècle; le reste de la grande nef et les collatéraux paraissent ne dater que du XVème siècle.
Le clocher renferme trois cloches.
La plus grosse, classée monument historique, est gravée d’un quatrain :
« Fondue fumes tout de neuf
De Sainville suis le Patron,
De st Pierre porte le nom.
L’an mil D.XLIX. » (1549)
La seconde, de 1821, porte cette inscription : « Béni soit le Seigneur Dieu d’Israël, car il a visité et fait la rédemption de son peuple ». Evangile de saint Luc, chapitre 1, verset 68.
La troisième se situe au dessus des deux autres.
Saint Pierre
Saint Pierre, fêté le 29 juin, est l’apôtre désigné par Jésus pour être la colonne de l’Eglise :
– Jésus dit à Pierre : « Pierre, tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon assemblée.
Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux. Ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux « .
Evangile de saint Matthieu chapitre 16, versets 18 à 19.
Informations pratiques
L’Eglise est équipée :
– d’un chauffage radian
– d’une sono
– d’un clavier électronique
Capacité d’accueil : 220 personnes.
Pour tout renseignement contacter Mme ROUSSEAU
Eglise-ouverte-en-juillet-et-en-aout-2023Le couvent Marie Poussepin
Certains offices sont célébrés au couvent de Sainville
La bienheureuse Marie Poussepin (1653 – 1744) a fondé la congrégation des Sœurs de Charité dominicaines de la Présentation de la Sainte Vierge de Tours. L’Eglise catholique l’a déclarée bienheureuse en 1994 par le pape saint Jean-Paul II.
Touchée et émue par la misère des campagnes et en particulier par le statut des orphelines, des veuves, des femmes malades, et plus généralement par la condition de la femme pauvre de son époque, Marie Poussepin fonde, en 1695, une communauté du Tiers ordre dominicain « pour instruire les filles et servir les malades pauvres »
La congrégation des « Sœurs de charité » regroupe près de 4 000 sœurs à travers le monde, dévouées à l’enseignement et à la médecine.